Archéologue à la recherche de la vérité (Terminé)

Voici mon caractère

Le trait de caractère qui remonterait le plus chez Armando, et son côté amusant, ou enfantin. En effet, le jeune italien aime bien faire rire les autres par son humour qui peut plaire ou non. Il aime faire des blagues et trouvé un aspect comique dans la situation, même face au danger il trouve toujours le moyen de faire de l’humour, ce qui peut à la fois faire son charme, mais aussi agacé d’autres.


Il est également attentionné envers autrui. Il se soucie toujours de ceux qui sont avec lui, et même après. Il veille constamment à leur bienêtre et surtout, à leur sécurité. Et, si cela se fait sentir, il courra au secours des autres sans perdre de temps. Quand il entend quelqu’un crié à l’aide ou avoir peur, il se sentira pousser d’aller y répondre. Mais si jamais Armando échoue, il peut rentrer dans une grande colère, si ce n’est de la déprime. Cet état d’esprit peut réapparaitre aussi quand il se sent bloqué, ne trouvant pas de solution à son problème, cela peut l’amener à paniquer. Armando se montre alors comme quelqu’un de dévouer et de fidèle. Jamais il ne trahirait ses proches pour tous les trésors du monde. Il ne s’achète pas et préfère se montrer honnête avec tout le monde, pour maintenir la confiance avec autrui. Aucune langue de bois avec lui, les menteurs ne sont pas les bienvenus.

Comme on l’aura compris, Armando est quelqu’un de courageux et d’audacieux. Il repousse toujours ses limites. Pour accomplir un objectif, il cherchera toujours un moyen pour l’atteindre même si c’est compliqué et risqué. Il n'hésite pas à donner son avis, ne se laisse pas impressionner non plus par ceux qui ont dû pouvoir. Également, il adore se rendre dans des endroits reculés et sombres, là où personne n’ose s’y aventurer. Cela relève du défi pour lui qui l’amuse à relever. C’est un grand amoureux des ruines anciennes, ne l’oublions pas. Chaque mystère l’attire, le menant à découvrir des secrets ou des réponses pouvant l’aider à atteindre son but. Cela le pousse souvent dans des situations compliquées.

Bien qu’il puisse aimer un peu d’action, notre ami archéologue préféré largement les batailles de l’esprit qu’à celui des bras. Il aime étudier et lire pour acquérir du savoir afin de le partager si possible, même si cela peut agacer également. Mais il aime raconter ce qu’il sait sur l’histoire. Cela peut aussi lui servir à résonner une personne pour éviter d’entre dans un conflit tout en argumentant, mais cela ne marche pas à tous les coups. Même si le professeur sait parfaitement se battre, il préfère la voie la plus pacifique possible. Mais s’il le fallait, il sortira ses poings et son pugio. Armando est aussi quelqu’un de très imaginatif, il élabore de nombreuses théories, des scénarios possibles avec tout ce qu’il découvre pour mieux comprendre ce monde qu’il explore. Il ne se met jamais en avant, il ne se vante pas. Il ne supporte pas les m’as-tu-vu et vantard qui ont un énorme ego.

Il peut par contre, se montrer un peu crédule, surtout face aux êtres mythologiques. Bien qu’il ait de riches connaissances sur ces personnages, il ne sait pas trop à qui faire confiance dans ce nouvel univers pour lui. Mais parfois, il peut se laisser avoir avec le commun des mortels, pas qu’il donne facilement sa confiance, mais l’aventurier peut donner un peu vite de bonnes intentions à tout le monde. Un autre point négatif, qui lui irrite tout le monde, c’est son côté distrait. S’il tombe sur une fresque, une statue ou un bol ancien cassé, l’archéologue s’y arrêtera pour le contempler et l’étudier. Même au beau milieu d’un combat ou d’une conversation, il prêtera plus attention à l’œuvre antique plutôt qu’à la situation. C’est plus fort que lui, mais il essaye de changer cela du mieux qu’il peut. Il peut aussi se montrer gaffeur, avec son côté distrait ou son franc parlé, il peut manquer parfois de diplomatie et provoquer une dispute. Sans l’avoir voulu.

Il est aussi quelqu’un de très ouvert, il ne dit pas non aux idées, aux différentes façons de penser, même contradictoire. Il aime en suite en parler, parfois en débattre. Il est sociable aussi et tolérant, on peut lui parler et discuter avec Armando de tout et de rien. Tant que cela est un échange amical, il écoute et respecte l’opinion d’autrui.
   

Voici mon histoire

Cette histoire commence à Rome, ma ville natale. Mes parents, Delio Lombardi et Marika Costa étudiaient tous les deux à l’université de Rome en histoires anciennes. Ils se sont rencontrés ainsi, par une passion et une ambition communes. Ils étudièrent donc ensemble sur différents projets et ils ont obtenu leur diplôme. Ils se sont mariés de suite après. Ne s’arrêtant pas là, ils sont partis sur de nombreux sites de fouilles et ils ont mené tout autant des expéditions. Leur amour pour l’histoire s’est retrouvé dans mon sang. Par la suite, mes parents obtinrent une chaire à l’université de Rome où ils purent mener à bien leurs travaux. Delio Lombardi se spécialisa surtout dans l’histoire et la culture gréco-romaine, sans pour autant oublier les autres civilisations. Il montra comment la civilisation grecque a évolué, passant par les Étrusques puis chez les Romains avant de finir dans les pays d’Occident que nous connaissons.

Cinq ans plus tard, je vins au monde. Delio et Marika n’ont pas perdu une seconde pour me raconter des histoires liées à la nôtre. Cela pouvait passer par celle de l’empereur Néron à celle de Zeus et d’Europe ou de la Louve du Capitole. Tout cela avant mes sept ans, d’après ce que m’avait dit mon père. J’en avais des souvenirs, mais très vagues. Je me souvins de moments heureux en famille, tout comme des moments sombres. Surtout celui-ci, quand ma mère disparut à mes sept ans et demi. À l’époque, je ne comprenais pas trop, on disait qu’elle était partie, puis qu’elle fut tuée par un groupe d’hommes lors d’une expédition qui voulait voler des artefacts. Mon père disait « Elle fut emportée par des malades ». La suite des événements ne fut pas meilleure. Déjà attristé et souffrant de la disparition soudaine de ma mère, mon père délirait, s’emportant contre des gens, hurlant que Marika avait été tuée par un Sparte. Puis, pendant les années qui ont suivi, il voulut prouver que les mythes grecs étaient vrais. Bien entendu, il fut tourné en dérision.

Je suivis à mon tour des études en histoire, archéologie et langues. Les années qui ont suivi, je travaillais tantôt de mon côté, tantôt avec mon père. Je voyageais avec lui à travers le monde comme à l’époque avec ma mère, mais cette fois-ci, ce fut dans la tristesse… Jusqu'au jour où il raconte avoir trouvé l’amour à nouveau. Je ne voulais le croire au début, mais voyant le bien que cette femme lui procurait était plaisant, il n’était plus triste du tout. Pourtant, je ne la voyais presque jamais et je ne connus jamais son nom. Pour des raisons inconnues, Delio ne voulait me le dire, gardant tout cela le plus secrètement possible. Même, il pouvait partir pendant des mois avec elle, me laissant chez de la famille. Je me sentais délaissé à cause de cette femme mystérieuse, à tel point que je fus en colère contre mon père et elle. Je coupais donc tous les ponts, poursuivant de mon côté mon chemin.

Après l’obtention de mon diplôme, une dizaine d’années après je dirais, je devins aussi professeur en histoire ancienne à Rome comme mes parents. Je marchais littéralement dans leurs traces. Je vécus mes propres aventures et enseignais avec passion pendant près de dix années de plus, jusqu'au jour où mon père m’appela inquiet. Il voulait me voir. Au départ hésitant, je le retrouvai au musée d’histoire à Rome. Il s’était éloigné de la faculté et s’était mis à travailler au musée. Sa réputation ayant tant souffert, il se montrait de moins en moins à ses collègues, tout en poursuivant ses délires sur les monstres et les dieux. Il se trouvait dans les sous-sols du bâtiment où étaient entreposer des reconstitutions d’artefact ancien. Je ne m’attendais pas à le voir en mauvaise posture. Un homme le menaçait avec un couteau et le frappait. Je voulus intervenir, mais l’agresseur donna un ordre en grec ancien et du plafond, une femme monstrueuse ailée me tomba dessus. Je fus effrayé, j’essayai d’échapper à ce monstre et de me défendre, passant sous les tables, lui lançant des outils comme des pinceaux par exemple… Jusqu'à ce que je mette la main sur une réplique authentique d’un Pugio. Il s’agissait en fait d’un poignard romain à pointe aiguë et double tranchant faisant 35 centimètres. Une arme très appréciée par les légionnaires et les empereurs eux-mêmes. Utile pour le corps-à-corps. Je me défendis avec, déjà pendant mon adolescence, je m’entraînais un peu avec ce genre d’armes avec des amis et pendant mes voyages, j’avais quelques bases. Je ne pensais avoir le dessus face à cette harpie, mais je parvins à l’entailler à une aile et à la frapper dans l’œil. Le monstre hurla et disparue plus loin, ayant réussi à s’enfuir. L’agresseur aussi avait disparu. Quant à mon père… Il était grièvement blessé.

A l’hôpital, mon père fut pris en charge et ne put parler pendant une semaine avant d’avoir retrouvé un minimum de force. Je lui rendais visite le plus souvent. Je finis par lui demander ce qu’il s’était passé. Delio refusait de me répondre, disant que c’était pour me protéger. Mais parlant de la harpie, il dut me révéler un secret incroyable est terrifiant.

Tout cela avait un rapport avec la disparition de la mère. Voilà plus de dix ans, Delio et Marika partirent en expédition en Grèce. Ils avaient pour objectif de découvrir un ancien sanctuaire non loin de Sparte où un trésor légendaire attendait. Le couple trouva les ruines cachaient dans une grotte lugubre. Mais aucune trace de trésor. Il n’y avait que des pierres mortes et des statues de guerrier terrifiant. Ils passèrent plusieurs jours à retourner chaque pierre, chaque morceau de colonne et de poterie pour trouver le trésor. Mais finalement, ils ne trouvèrent qu’une amphore, scellée par un sceau. Cela restait une découverte archéologie, alors ils l’étudièrent. Mon père fut pressé de l’ouvrir, mais ma mère voulue se montrer prudente. Delio croyait trouver une sorte de Graal et finit par briser le sceau. De la fumée s’en échappa et un homme apparu. Ce dernier était vêtu comme un guerrier spartiate. D’un rire à glacer le sang, il fit prendre vie aux statues. Leurs corps de pierre tombèrent en morceaux comme s’il ne s’agissait que d’une coquille et des Spartes apparurent. Ils s’agissaient de guerriers invoqués à partir de dent de dragon. Ces monstres tuèrent ma mère alors que mes parents voulurent s’enfuir avant que le petit groupe ne s’enfuie. Delio, comprit à partir d’anciens textes qu’il s’agissait d’un prêtre sorcier d’Arés qui fut prisonnier par magie dans cette amphore par l’armée athénienne. Il comprit trop tard son erreur. Alors, il eut pour mission de prouver la véracité des mythes et des légendes, montrer les dangers que l’humanité encourait, menacée par des dieux maléfiques, des assassins surpuissants et des monstres assoiffés de chair fraîche. L’histoire ne s’arrêta pas là. La femme qu’il avait rencontrée, elle était une déesse. Elle était tombée sous son charme de par son travail et son don ainsi que sur sa motivation. Il ne dit pas pour autant son nom, mais de leur union, naquit un enfant, un garçon.

J’avais donc un demi-frère qui s’appelait Maximilien. Et ce que j’allais entendre n’allait pas me faire plaisir. Heureux d’avoir eu son second enfant, il s’occupa pleinement de son éducation, dont sa longue absence. Il disait ne pas vouloir abandonner ce pauvre enfant et donc, qu’il l’aidait dans ses études et avec l’aide de sa mère, l’aida à obtenir un post bien placé. Je sentais la jalousie montait en moi. Je voulais savoir, pourquoi m’avait-il mis après ce second fils. Il disait nous aimer tous les deux, mais que Maximilien avait besoin de plus d’attention, ce que j’avais du mal à croire. Il me parla d’une puissante entreprise à Londres, l’Olympus Corporation, là où se cachaient les dieux et où mon frère travaillait. Étant dans la branche culture et histoire, il pourrait m’aider dans mon métier d’archéologue. M’aider, je trouvais cela marrant dans le mauvais sens. Choqué par tant de nouvelles, je décidais de m’en aller. Bien que j’eusse du mal à avaler tout cela facilement, l’apparition de la harpie, plus les autres fois où je pensais avoir vu des monstres finissent par me convaincre.

Pendant sa convalescence, je rangeais les affaires de mon père. Je m’occupais de ses affaires le temps qu’il se remette. Je réfléchissais à tout ce que j’avais appris. Je pris également quelques jours pour y réfléchir lorsqu'une nuit, dans mon appartement, je reçus la visite de l’agresseur. Il avait défoncé ma porte et cette fois-ci, il était accompagné d’un sparte, il ressemblait à un zombie, qui m’attaqua avec son épée. Son maître sorcier était visiblement faible. Et il semblait chercher quelque chose. L’amphore contenait un réceptacle qui gardait ses pouvoirs et c’était pour cela qu’il s’en prenait à mon père. J’avais gardé le Pugio qui m’avait sauvé la vie et cette fois-ci, je me battis avec rage. Mon poignard était joli, mais pas aussi efficace contre l’épée du monstre. Mais je bénéficiais de vitesse et d’agilité, alors que ce sparte voulait juste me balayer avec sa longue lame. Je finis par avoir le dessus et le frappa en plein cœur. La chose disparue dans les airs, ne laissant qu’une grosse dent pointue de dinosaure. Le prêtre d’Arés voulu s’en prendre à moi juste après en faisant apparaitre une flèche magique. Mais j’esquivais le projectile. En même temps qu’il relançait une incantation, je le blessais au bras avant de lui trancher la tête. Je n’avais nullement besoin de preuve supplémentaire. J’avais ainsi la volonté de prouver aussi au reste du monde de l’existence du monde mythologique, de ses dangers surtout. Je le devais pour ma mère. Mon début de piste fut Londres, j’essayerais de retrouver mon demi-frère aussi qui pourrait peut-être m’aider.

Enfin, c’était ce que je croyais. Oui une fois arrivé, j’ai retrouvé mon frère à cette corporation. Il n’était pas du tout surpris de mon arrivé et disait s’attendre à me voir arrivé. Bras ouvert, il m’invita à les rejoindre. Il se présentait même comme une sorte de Mécène qui était prêt à financer toutes mes expéditions, à la condition que chacune de mes découvertes reviendrait à la corporation, mais surtout à lui. Bien que réticent au début, j’ai accepté finalement pour un temps. Mais je sentais quelque chose de louche. Déjà, de l’hostilité existait entre nous, à cause de notre père. Mais aussi, je sentais en lui une forme de manipulation. C’est pour cela qu’après deux ou trois voyages pour lui, je compris qu’il cherchait à profiter de mes découvertes et ne comptait pas me laisser faire le pourquoi j’étais venu. Alors, j’ai préféré m’en aller, retourné travaillé pour l’université de Rome uniquement et faire mes propres recherches, même si des fois, je devrais le payer de ma poche.

Voici donc mon histoire avant d’arriver ici.

« Gringo, ce fut une belle historia gracias. Por que me parler à moi ?
-Je vous l’ai dit amico, je veux prouver que les dieux et leur univers existent bien au monde. Vous êtes parmi les premières personnes à qui j’en parle.
-Muchas gracias senior. Pour vous remercier, je vous offre un second Tacos.
-Grazie amico ».

   

Salut à tous, je me nomme Iskaras et je fais du forum rp depuis un petit moment déjà. Je vous ais connu grâce à Eléa que je connais déjà et qui ma invité parmi vous Et je le trouve fort sympa^^ Et j'ai hate de commencer car le contexte est super cool    

Derrière l'écran il y a moi